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Nouvelles du Ballet du Capitole de Toulouse
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sophia



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MessagePosté le: Jeu Mai 16, 2013 4:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Une interview de Kader Belarbi dans La Dépêche et les premières photos de son Corsaire (sans décors? Rolling Eyes)


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sophia



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MessagePosté le: Jeu Mai 16, 2013 11:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Yoel Carreño, soliste au Ballet de Norvège, et Kateryna Shalkina, soliste au Béjart Ballet Lausanne, danseront les rôles-titre dans Le Corsaire le vendredi 17 mai et le samedi 18 Mai à 20h .


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Ambrine



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Messages: 297

MessagePosté le: Ven Mai 17, 2013 12:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sans décor !!? Crying or Very sad
J'espère bien que si. C'est mon premier ballet au Capitole de Toulouse samedi soir et je sens mal l'exotisme sans décor ...


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Ven Mai 17, 2013 12:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les décors sont bien là! Mais j'avoue que j'ai eu un choc au départ en voyant ces photos, d'autant que les costumes ne font pas, eux, dans la demi-mesure.
C'est de l'exotisme... "épuré", dirons-nous.

On attend avec impatience vos impressions! Wink


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Ambrine



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Messages: 297

MessagePosté le: Ven Mai 17, 2013 5:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bon je n’y vais pas non plus pour retrouver la version du Corsaire du Bolchoï que j’adore soit dit en passant (surtout la scène au fond des eaux, et je ne plaisante pas, et j’assume complètement).
OK pour vous dire ce que ça donne en live. Wink


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kitri



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Messages: 56
Localisation: Toulouse

MessagePosté le: Dim Mai 19, 2013 12:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir

Sous le charme de Yoel Carreño : Quel talent !!!! Il y avait longtemps qu'il n'y avait pas eu une telle ovation au Capitole. Very Happy Very Happy
Kateryna Shalkina est aussi une merveilleuse danseuse. Very Happy Very Happy
Est-ce un "test" en vue d'un engagement au Ballet ?????? Question


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Ambrine



Inscrit le: 10 Déc 2008
Messages: 297

MessagePosté le: Dim Mai 19, 2013 11:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ambrine a écrit :
Citation:

et je sens mal l'exotisme sans décors ...


On n'a pas idée de sentir aussi mal.
La scène peut être vide de décors, si elle est habitée par des danseurs d'un tel niveau, moi ça me va.
Non seulement cette absence de décors ne pèse pas mais au contraire elle accentue la poésie de certains tableaux et valorise la gestuelle des danseurs, aidée en cela par une lumière distillée comme il faut, là où il faut, judicieusement. L'exotisme était bien là : dans les costumes, dans les pas, dans la danse des voiles, dans les attitudes, dans la musique. Nul besoin de fioritures. 
CE corsaire! Je parle de LUI, ce soliste que je ne connaissais pas. Et Kader Belarbi de le prendre dans ses bras à la fin du spectacle comme pour le remercier LUI tout particulièrement. Il faut dire qu'il l'a porté bien haut son corsaire, et sa partenaire également, à bout de bras, droite comme un I. Vertigineux et magnifique. Un corsaire donc qui à mon avis éclipsait tout le monde, partenaire et corps de ballet pourtant brillants.
Chorégraphie épurée, sobre, limpide. On comprend tout.
Premier acte tout en douceur et truffé d'humour (scène nuptiale croustillante : c'est qu'elle résiste la belle et le goujat la plante là, moitié sur le lit, moitié par terre !)
Kader Belarbi a SON acte blanc ravissant. J'ai d'ailleurs trouvé tous les costumes des filles particulièrement séduisants : blancs, rouges, vert d'eau, bleu et j'en passe. Totale réussite visuelle.
Le public, toujours aussi friand de prouesses techniques, frileux au premier acte, s'est déchaîné au second dans les applaudissements et les bravoooooos.
Je n'ai encore rien lu des critiques des professionnels mais de ce que j'en ai entendu à la sortie du théâtre, les spectateurs semblaient ravis.
Bien belle soirée dans l'intimité de ce petit théâtre. Bien belle compagnie que je reverrais bien volontiers.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Lun Mai 20, 2013 9:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Ambrine. Smile
Il y a un article dans Le Figaro, accompagné d'une vidéo, mais qui comporte malheureusement nombre d'erreurs factuelles (par exemple, le Corsaire n'était en rien un ballet oublié avant la version de Vinogradov pour le Kirov dans les années 80, Youri Burlaka et Igor [sic!] Ratmansky sont les auteurs de la version du Bolchoï (2007), non de celle de l'ABT, signée Anna-Marie Holmes, qui est antérieure et complètement différente, le personnage de la Favorite du Sultan existe bel et bien dans la version du Bolchoï, etc...). Rien sur les danseurs en revanche, dommage (la première était avec Davit Galstyan dans le rôle du Corsaire).


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Mer Mai 22, 2013 7:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Corsaire du Capitole a été filmé et est en ligne pour quelques mois sur Arte Live Web.


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Mai 25, 2013 10:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La critique de Jean-Marc Jacquin, qui nous représentait comme toujours au Théâtre du Capitole, est en ligne sur le site de Dansomanie :



16 mai 2013 : Le Corsaire (Kader Belarbi) au Théâtre du Capitole



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NEOPHYTE



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MessagePosté le: Dim Mai 26, 2013 5:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

On danse de bien belle façon à Toulouse!
J'ai adoré ce "Corsaire", les costumes et la chorégraphie sont magnifiques.
Voilà qui donne envie d'aller à Toulouse... histoire de voir la vie en rose.


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Jeu Juin 13, 2013 4:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dernier spectacle de la saison au Ballet du Capitole de Toulouse :





OYSTER

Revue dansée

Créée par la Compagnie Inbal Pinto à la Maison de la Danse de Lyon en novembre 1999

ENTREE AU REPERTOIRE

Musique : Glen Gray, Huun-Huur-Tu (chant diphonique touva), Harry James, Ruggero Leoncavallo, Limon Limonero, Werner Muller et son orchestre, Mario Pezzotta et ses solistes, Astor Piazzolla et Yma Sumac
Chorégraphie, décors, costumes : Inbal Pinto et Avshalom Pollak
Lumières : Yoann Tivoli

Ballet du Capitole
Coproduction de la Maison de la Danse de Lyon, du Théâtre municipal de Haïfa (Israël) et du Centre Suzanne Dellal de Tel Aviv


Casino-Théâtre Barrière
27, 28, 29 juin 2013 à 20h
30 juin à 15h
Répétition générale : 26 juin à 20h
Durée : 1h15 - Tarifs : 6,50 € à 40 €
RESERVATIONS
www.theatreducapitole.fr
+33 (0)5 61 63 13 13

________________________________
Un service de navettes gratuites est organisé à destination du Casino-Théâtre Barrière : Renseignements : 05 61 63 13 13





Citation:
C’est avec un conte poétique et surréaliste, Oyster, que le Ballet du Capitole clôture sa saison sur une note festive. C’est en puisant dans la danse, le mime, le cirque, le spectacle de marionnettes et le théâtre, que les chorégraphes israéliens Inbal Pinto et Avshalom Pollak ont conçu cette pièce.

Oyster, un drôle de titre pour un drôle de spectacle inclassable et déroutant où l’imagination est reine. Du surréalisme poétique d’un Fellini à la théâtralité muette de Charlie Chaplin, Oyster est un conte captivant et jubilatoire.

Ce spectacle a connu un beau succès dans le monde entier (Etats-Unis, Chine, Angleterre, Grèce, Israël, Irlande…), tant auprès du public que de la critique ; il a reçu en 2000 le Prix de l’Académie de Théâtre d’Israël dans la catégorie « Meilleure production des arts de la scène ».

Le Ballet du Capitole est la première compagnie à reprendre ce spectacle, créé en 1999 à la Maison de la Danse de Lyon par la Compagnie Inbal Pinto. Oyster dévoilera une nouvelle facette des danseurs du Ballet du Capitole qui nous plongent, au fil des spectacles, dans des univers à l’esthétique toujours plus riche et variée.


A PROPOS D’OYSTER

Le titre de ce ballet signifie « huître », car cette revue dansée, totalement inclassable, tire son titre d’un conte de Tim Burton, La Triste Fin du petit enfant huître. On y croise des créatures monstrueuses à la Fellini, voire des personnages issus des films muets de Charlie Chaplin.

Au gré de ces divers clins d’oeil, le spectacle s’attache à mêler dans la plus grande originalité la danse classique, la danse contemporaine, les arts du cirque, le mime et le théâtre, dans une atmosphère de poésie, d’humour et de surréalisme. La virtuosité exigée des danseurs, la rencontre particulièrement riche et féconde des costumes, de la scénographie et des musiques, font d’Oyster une oeuvre enjouée et fascinante.

« Sorte de parade burlesque où le cirque se dispute à la danse et le rire au drame, Oyster campe des personnages en mal de perfection physique, à mi-chemin entre des monstres de foire et des créatures
chimériques et séduisantes.

Dans ce monde étrange baigné de jazz, d’opéra et de chant tuva sibérien, les danseurs enchaînent aux romances des acrobaties ahurissantes, portent des tutus bizarres ou des fracs élimés pour mieux nous emporter dans une facétieuse fantasmagorie. »

Agnès Izrine


ENTRETIEN AVEC INBAL PINTO ET AVSHALOM POLLAK

J’ai lu que votre spectacle Oyster était un clin d’oeil aux poèmes et dessins de Tim Burton, La Triste Fin du petit enfant Huître.

En réalité, Oyster ne s'inspire pas de cet ouvrage de Tim Burton. Je dois reconnaître que, Inbal et moi même, avons commis une grosse erreur lorsque, dans une interview, nous avons dit avoir intitulé notre pièce Oyster d’après l’ouvrage de Tim Burton que nous venions de lire. Nous n’avons voulu évoquer que le seul titre et non le contenu. Je dois dire cependant que je n’ai aucun problème avec cela. Si certaines personnes veulent voir un lien entre notre spectacle et les poèmes de Burton, je suis d’accord. L’un des objectifs de la création artistique est de laisser aux gens la liberté d’esprit et d’âme.

Selon vous, comment définiriez-vous Oyster ? Est-ce de la danse, de la danse-théâtre, du cirque ?

Oyster, c’est tout cela et quelque chose en plus, un spectacle qui possède sa propre identité. Le mélange des ingrédients du spectacle crée le monde unique d’Oyster.

Oyster a obtenu un très grand succès partout où il a été donné. Pourquoi, d’après vous ?

C’est un mystère. Mais, il se peut que ce spectacle ait quelque chose en lui, la capacité à créer de l’imaginaire, un voyage émotionnel pour une grande variété de personnes, d’âges et de goûts totalement différents. Il est de tous les temps et de tous les endroits, intemporel et ubique. Il est le point de rencontre parfait pour commencer une nouvelle aventure, se remémorer le passé, expérimenter quelque chose de nouveau ou juste voler avec les ailes du rêve.

Le monde dans lequel vous nous entraînez est un monde d’imagination et de magie. Quelles sont vos inspirations, vos sources ?

En fait, tout nous inspire. La vie réelle a beaucoup à offrir. Les gens avec lesquels nous travaillons, aussi. La musique, les couleurs, le comportement humain, la nature, les animaux, ou encore nos enfants.

La danse contemporaine israélienne est très réputée en Europe. Dans cette grande famille, où vous situez-vous ?

Nous sommes une identité dans une mer d’identités.


Propos recueillis par Carole teulet





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haydn
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MessagePosté le: Jeu Juin 27, 2013 11:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le site Toulouseblog met en ligne un album-photo assez fourni d'Oyster, dont les représentations débutent ce soir. Attention, les pages sont malheureusement infestées de pub.




Oyster, une fin en apothéose pour le ballet du Capitole



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haydn
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MessagePosté le: Mar Juil 09, 2013 10:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

En ligne sur le site de Dansomanie, la critique de Jean-Marc Jacquin :



27 juin 2013 : Oyster (Inbal Pinto - Avshalom Pollak) au Casino-Théâtre Barrière de Toulouse



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sophia



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MessagePosté le: Dim Aoû 25, 2013 12:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Ballet du Capitole en tournée en 2013-2014

Perpignan (Théâtre de l'Archipel)
Dans les Pas de Noureev
4 décembre 2013

Onet-le-Château (Théâtre La Baleine)
Dans les Pas de Noureev
8 décembre 2013

Massy (Opéra)
Dans les Pas de Noureev
14-15 décembre

Sochaux (Mals)
Dans les Pas de Noureev
19 décembre 2013

Cremona/Italie (Teatro Ponchielli)
Le Corsaire
25 février 2014

Vincenza/Italie (Teatro Comunale Città di Vicenza)
Le Corsaire
27-28 février 2014

Pordenone/Italie (Teatro Comunale Giuseppe Verdi)
Le Corsaire
2 mars 2014

Quimper (Théâtre de Cornouaille)
Pâques russes
16-17 avril 2014

Albi (Grand Théâtre)
Le Corsaire
26 avril 2014


Sans doute ce calendrier pourra-t-il être complété... Le descriptif des programmes mixtes (Noureev et Pâques russes) figure sur la page précédente, dans le post sur la saison 2013-2014.


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