Dansomanie Index du Forum
Connexion S'enregistrer FAQ Liste des Membres Rechercher Dansomanie Index du Forum

Bayerisches Staatsballett Munich - Critiques et actualités
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 6, 7, 8 ... 30, 31, 32  Suivante
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
frederic



Inscrit le: 23 Jan 2007
Messages: 976

MessagePosté le: Lun Oct 18, 2010 12:41 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, j'ai vu Lucia Lacarra au printemps à Munich danser Tatiana et je fus ébloui: quelle justesse, quel art dans l'interprétation, quelle ampleur dans sa danse! Mais je ne vois pas ce qu'elle pourrait danser à l'opéra de paris, si ce n'est pour une reprise d"Onéguine.....


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Lun Oct 18, 2010 8:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Elle avait dansé Carmen lors d'une soirée Roland Petit, il y a quelques années.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Lun Oct 18, 2010 9:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est aussi une remarquable balanchinienne, ce qui n'est jamais totalement inutile... Je garde un grand souvenir d'elle dans Agon il y a quelques années ! Et elle danse évidemment aussi tout le grand répertoire classique !


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Oct 20, 2010 3:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La critique de Dominique Adrian, illustrée de photos, est en ligne sur le site de Dansomanie :




13 octobre 2010 : Onegin, de John Cranko, par le Bayerisches Staatsballett


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Nov 27, 2010 10:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dominique Adrian nous représentait également dimanche dernier à Munich pour la soirée "Mein Ravel" ("Mon Ravel"), constituée de deux chorégraphies différentes qui utilisaient la musique du célèbre compositeur français :



21 novembre 2010 : "Mein Ravel" (J. Mannes / T. Kohler) par le Bayerisches Staatsballett


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Dim Nov 28, 2010 11:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux qui ne veulent pas suivre le lien, je recolle ici mon texte (qui sait, même si j'en doute fort, il y a peut-être ici des fans de Terence Kohler Confused...).

Mon Ravel

Wohin er auch blickt... (Où que porte son regard)
Musique : Ravel, Une barque sur l’Océan, Concerto pour la main gauche, Pavane pour une infante défunte
Chorégraphie : Jörg Mannes
Décors : Tina Kitzing
Costumes : Lenka Radecky
Lumières : Christian Kass

Avec
Daria Sukhorukova, Séverine Ferrolier, Ekaterina Petina
Tigran Mikayelyan, Lukáš Slavický

Daphnis et Chloé
Musique : Ravel, Daphnis et Chloé (version intégrale)
Chorégraphie et vidéos : Terence Kohler
Décors, costumes et vidéos : Jordi Roig
Conception des vidéos : Terence Kohler, Jordi Roig
Lumière : David Bofarull

Avec Karen Azatyan (Daphnis), Mai Kono (Chloé), Tigran Mikayelyan (Briaxis), Roberta Fernandes (Lykanion), Wlademir Faccioni (Pan), Emma Barrowman, Ekaterina Petina, Ivy Amista (Trois nymphes)

Ballet national de Bavière

Momo Kodama, piano
Orchestre national de Bavière
Kent Nagano, direction musicale

L’événement était de taille : à lire les déclarations des uns et des autres, on finit par ne plus comprendre qui a eu l’idée ; toujours est-il qu’il y avait des décennies que le directeur musical de l’Opéra de Munich n’avait pas dirigé une soirée de ballet. Que la rencontre entre Kent Nagano et le Ballet National de Bavière se soit fait autour de Ravel était presque naturel, tant les affinités du chef avec la musique française du XXe siècle sont évidentes, et le public munichois, où la séparation entre amateurs de danse et amateurs d’opéra est beaucoup plus forte qu’à Paris, n’a pas manqué de faire un triomphe au chef, à la fois pour sa simple présence et pour la grande sensibilité de ses interprétations, sensibilité musicale que les deux chorégraphes ne possèdent pas au même point.
Avec cette soirée, le directeur Ivan Liška voulait d’abord confier une nouvelle création au jeune chorégraphe australien Terence Kohler, qu’il soutient depuis plusieurs années. Sa première création pour la maison, insérée dans une soirée sur les Ballets Russes, n’avait guère séduit, à la fois à cause de son manque cruel d’audace et de son propos confus (Dansomanie en avait parlé ici et ici). Ici, la confusion est moindre, parce que l’abondant corps de ballet n’est qu’à peine présent et que l’intrigue est d’une simplicité biblique, mais le jeune chorégraphe n’est pas parvenu à dépasser une Antiquité de convention à la blancheur désuète. Pour créer un ballet classique ou néo-classique, l’imagination et l’invention visuelle ne sont pas moins précieuses que pour construire un ballet contemporain. C’est bien là le grand défaut du ballet de Terence Kohler : non seulement son ballet n’est que la plate illustration de la musique de Ravel et du scénario original, mais encore son vocabulaire chorégraphique semble issu de la boîte à outils standard du chorégraphe débutant. Presque rien, ici, qui ne soit lourdement prévisible, et ce qui l’est moins prête souvent à sourire, comme ce geste, inspiré sans doute de Michel-Ange, où le contact des doigts des deux très jeunes gens fait naître en eux l’électricité de l’amour.
Le fait d’avoir choisi deux jeunes danseurs pour les rôles principaux est certes aisément compréhensible, mais il se retourne contre le chorégraphe : n’ayant pas assez d’expérience pour donner à leurs rôles le poids d’une personnalité artistique confirmée, Karen Azatyan et Mai Kono se font également aspirer par le flot pâle de la convention. Seul Pan, en la personne de Wlademir Faccioni, parvient à animer cette longue pièce, avec un rôle bachique valorisant.
En guise de prélude, Ivan Liška avait également recouru à un chorégraphe déjà connu du public munichois : Jörg Mannes, désormais directeur du ballet de Hanovre, avait signé en décembre 2007 une adaptation de La Tempête de Shakespeare, qui osait la grande aventure du ballet narratif tout en le réduisant à ses éléments constitutifs, avec une écriture chorégraphique vive et originale. On retrouve ces mêmes qualités, sans le support narratif, dans le ballet qu’il a réalisé autour du sombre Concerto pour la main gauche écrit par Ravel après la Première guerre mondiale pour le pianiste Paul Wittgenstein, qui avait laissé son bras droit dans le conflit. Sans faire trop directement référence à cet aspect événementiel, la pièce dégage une émotion sourde et souvent douloureuse, comme dans la scène où Tigran Mikayelyan, comme toujours remarquable non pas pour son énergie, mais pour la maîtrise avec laquelle il sait utiliser cette énergie, est comme écrasé par l’un des grands panneaux lumineux qui construisent l’espace scénique.
À ses côtés, Daria Sukhorukova, venue du Mariinsky en 2007 et rapidement promue première soliste, parvient à un nouveau degré de maturité artistique, en particulier avec son solo à la fin de la pièce, mais aussi avec un duo intense où elle se montre la digne partenaire de Mikayelyan : on la pensait venue à Munich pour enchaîner les rôles classiques du grand répertoire, elle montre ici qu’il ne saurait être question de se passer d’elle dans le répertoire contemporain. Les trois autres premiers solistes, et notamment la Française Séverine Ferrolier, partagent avec le couple central une commune aisance face aux exigences de la chorégraphie de Mannes, qui réclament d’eux souvent de la vitesse, mais aussi constamment une fluidité expressive redoutable, mais c’est bien à ces deux danseurs, sans parler de leur chorégraphe, qu’on devra les quelques souvenirs forts qui resteront de cette soirée ô combien inégale.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
paco



Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3559

MessagePosté le: Lun Nov 29, 2010 3:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Est-ce que la pianiste joue à la fois le Concerto et la Barque sur l'océan, ou la barque est-elle en version orchestrée ?


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Lun Nov 29, 2010 7:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Orchestre entier pour La barque... C'est souvent assez difficile, je trouve, quand dans un ballet on passe soudainement du piano seul à l'orchestre, donc je pense que ça vaut mieux!


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Dim Déc 05, 2010 11:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ce soir, le Ballet de Bavière se livre à l'exercice du gala, pour une oeuvre caritative. Nul doute que ce gala, donné dans le petit Cuvilliés-Theater, sera fort intéressant, même sans invités étrangers (que je sache) : mais on n'en est qu'aux suppositions, étant donné que ce sera la surprise : aucune information sur les danseurs et les morceaux présentés pour l'instant ! A vrai dire, je ne trouve pas ça désagréable, cette surprise...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Mar Déc 07, 2010 12:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ouf, ce n'est pas rien de critiquer un gala pareil...

Soirée de gala – Ballet National de Bavière
au profit de la Fondation Herz-für-Herz

Multiplicité, formes de silence et de vide (Nacho Duato/Bach), extrait : Ensemble
Chaconne (José Limón/Bach-Busoni) : Javier Amo Gonzalez
Five Brahms Waltzes in the Manner of Isadora Duncan (Frederick Ashton/Brahms) : Stephanie Hancox
Pas de Quatre (Leonid Jacobson/Bellini), extraits : Mai Kono, Magdalena Lonska, Gözde Özgür
The Old Man and Me (Hans van Manen/J. J. Cale, Mozart) : Lucia Lacarra, Ivan Liška
Solo (Hans van Manen/Bach) : Zoltan Mano Beke, Wlademir Faccioni, Javier Amo Gonzales
P.S. Isabel Sévers. Mon coeur ne se brisa qu’une fois (Simone Sandroni/collage) : Isabelle Sévers
Sylvia Pas de deux (George Balanchine/Delibes) : Daria Sukhorukova, Lukáš Slavický
La dame aux camélias (John Neumeier/Chopin), Pas de deux de l’acte II : Lucia Lacarra, Marlon Dino
In the future (Hans van Manen/Byrne) : Bayerisches Staatsballett 2, Junior Company

Musique enregistrée/Elena Mednik, Maria Babanina, piano

Munich, Cuvilliés-Theater
5 décembre 2010

Les galas organisés régulièrement par le Ballet de Bavière, c’est le moins qu’on puisse dire, ne ressemble guère à la routine des grands galas internationaux : là où les Étoiles du XXIe siècle enchaînent toujours les mêmes pas de deux avec les mêmes artistes, les galas munichois sont l’occasion de véritables voyages de découverte dans des territoires oubliés du répertoire. Cette fois, pour ce gala caritatif donné dans le cadre intime et prestigieux du très rococo Théâtre Cuvilliés, les danseurs sont exclusivement ceux de la maison, contrairement aux galas Terpsichore qui ont lieu chaque saison : c’est après tout peut-être le meilleur moyen pour la direction et pour le public de mettre en évidence leur attachement pour leur propre compagnie, sans avoir à lorgner vers telle ou telle star.
C’est la règle du jeu, tout, dans ce panorama, n’est pas également intéressant. Le chœur d’ouverture de Multiplicité de Nacho Duato n’a ainsi pas d’autre intérêt que d’ouvrir le spectacle par une scène d’ensemble, et la chaconne vieillie de José Limón ne permet pas à Javier Amo Gonzalez, pourtant sans hésitation l’un des espoirs masculins les plus affirmés de la compagnie, de briller comme il l’aurait dû. On passera aussi sur le Pas de quatre de Leonid Jacobson, réduit à trois variations par la blessure de l’une des danseuses : cette ambitieuse résurrection de quatre grandes ballerines du passé aurait nécessité beaucoup plus d’efforts stylistiques, et seule Gözde Özgür parvient à faire passer un peu de ce souffle mythique. Stephanie Hancox, elle, a moins de mal à se glisser dans la peau d’une autre grande figure de l’histoire de la danse : la pièce consacrée par Frederick Ashton à Isidora Duncan vaut pour le regard à la fois surpris, amusé et fasciné, que porte Ashton sur l’une des fondatrices de la danse contemporaine, dont les essais nous paraissent aujourd’hui pleins de l’enthousiasme et de la naïveté de l’exploratrice, entre hellénisme à la mode du temps et essais plus dramatiques.
La pièce la plus contemporaine de la soirée est sans doute l’hommage adressé par Simone Sandroni à la danseuse française Isabelle Sévers : la pièce est un décalque de la Véronique Doisneau de Jérôme Bel à l’Opéra de Paris, avec un peu plus de danse et surtout un peu plus de personnalité, et donc beaucoup moins d’ennui que chez Jérôme Bel, d’où l’ovation accordée à la danseuse, qui a juste assez d’accent français pour charmer les spectateurs bavarois. Une part importante de la soirée est elle consacrée au chorégraphe Hans van Manen, qui a pendant longtemps été au cœur du répertoire de la troupe, mais semble moins présent depuis quelques années : le succès de The Old Man and Me n’a rien pour surprendre, surtout quand la pièce est l’occasion de réunir sur scène la prima ballerina assoluta de la troupe et son directeur Ivan Liška, qui ne se fait jamais prier pour venir déployer sa présence scénique inentamée. La rencontre impossible entre la jeune fille et le vieux monsieur fait penser à Solo for two de Mats Ek, même si cette fois les corps se touchent, même si on croit à certains moments que quelque chose sera possible : la force émotionnelle de la chorégraphie est moins grande ici que chez Matz Ek, mais les deux interprètes ont suffisamment de sens de la scène pour rendre ce moment chorégraphique très émouvant. La seconde pièce du chorégraphe néerlandais, Solo, est dansée par trois jeunes danseurs de la compagnie, qui enchaînent une série de solos rapides, enchaînés mais sans aucune interaction ou presque, où manèges et diagonales pour rire font planer le spectre de la danse classique : le brio des interprètes est sans faille, chacun ayant déjà eu amplement l’occasion de développer une danse immédiatement expressive où on ne répugne pas, pour la bonne cause, à la mimique.
La troisième pièce de Hans van Manen est certainement la moins convaincante, ce qui est d’autant plus regrettable qu’en plus de clore la soirée elle porte sur les fonds baptismaux une nouvelle compagnie, le « Bayerisches Staatsballett 2, Junior Company », qui ne démérite pas dans cette pièce enlevée mais un peu creuse : on aurait simplement souhaité que les danseurs qui la composent aient un peu plus l’occasion de montrer leur personnalité en plus de leurs capacités techniques.
Les deux morceaux les plus classiques de la soirée relèvent de ce répertoire aux contours indistincts qu’on réunit sous le terme élastique de « néo-classique » : le choix du Pas de deux du second acte de La dame aux camélias n’est ici pas très adapté, tant il perd à être détaché de son contexte ; comme Lucia Lacarra et son époux Marlon Dino ne s’y sont pas montrés aussi souverains qu’à l’habitude, c’est aux deux interprètes du moelleux Sylvia Pas de deux de Balanchine qu’est revenue la plus enthousiaste ovation de la soirée. Daria Sukhorukova et Lukaš Slavický ont pu y montrer ce qui constitue sans doute la plus grande qualité de la troupe munichoise à une époque où seule semble compter la virtuosité pour elle-même : le souci du style, particulièrement important dans cette pièce qui, contrairement au plus célèbre Tchaikovski Pas de deux, ne cherche pas à impressionner par les exploits techniques, mais demande infiniment de goût et de délicatesse.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Déc 08, 2010 12:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

nabucco a écrit:
La pièce la plus contemporaine de la soirée est sans doute l’hommage adressé par Simone Sandroni à la danseuse française Isabelle Sévers


Isabelle Sévers est belge... déjà qu'on leur a piqué César Franck et Jacques Brel, aux amis d'Outre-Quiévrain...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Déc 08, 2010 1:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La critique de Domnique Adrian est à présent également en ligne sur le site, avec les photos qui nous arrivent toutes chaudes de Munich :



05 décembre 2010 : Soirée de gala du Bayerisches Staatsballett au Cuvilliés-Theater


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Jeu Déc 09, 2010 10:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
nabucco a écrit:
La pièce la plus contemporaine de la soirée est sans doute l’hommage adressé par Simone Sandroni à la danseuse française Isabelle Sévers


Isabelle Sévers est belge... déjà qu'on leur a piqué César Franck et Jacques Brel, aux amis d'Outre-Quiévrain...

Embarassed ... d'autant plus que ce n'est pas les Français qui manquent dans cette troupe, a fortiori chez les solistes avec Cyril Pierre et Séverine Ferrolier !


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Ven Déc 10, 2010 3:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En attendant, ce sont les Russes qui débarquent à Munich.

Natalia Osipova sera Aurore dans La Belle au bois dormant, version Ivan Liška, au Bayerisches Staatsballett le 11 février prochain.





Autres dates de représentations :

17. 12. 2010
20. 12. 2010
25. 12. 2010
11. 01. 2011
12. 01. 2011
13. 01. 2011
14. 01. 2011
15. 01. 2011
04. 02. 2011
11. 02. 2011
20. 02. 2011 (matinée)
20. 02. 2011 (soirée)
03. 06. 2011
13. 06. 2011
18. 06. 2011
23. 06. 2011


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Mar Déc 14, 2010 10:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, je n'avais pas eu le temps de donner cette information. Les invitations de ce genre sont beaucoup moins habituelles à Munich qu'à Paris...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 6, 7, 8 ... 30, 31, 32  Suivante
Page 7 sur 32

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous pouvez voter dans les sondages de ce forum


Nous Contacter
Powered by phpBB © phpBB Group
Theme created by Vjacheslav Trushkin
Traduction par : phpBB-fr.com