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haydn
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 Posté le: Ven Oct 08, 2004 2:29 pm Sujet du message: Kabuki au festival d'automne |
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Le Festival d'automne fait cette année une large place à la culture japonaise et propose une série de spectacles, d'expositions et de projections de films centrés autour du Kabuki, le théâtre dansé tradidionnel de l'Empire du Soleil Levant.
Plusieurs articles sont déjà parus dans la presse à ce sujet :
La dépêche AFP sur Voila
Le papier d'Odile Quirot dans le Nouvel Observateur
Pour plus de renseignements, on peut consulter :
L'annonce des spectacles de Kabuki sur le site du Théâtre National de Chaillot
Le détail du programme sur le site officile du Festival d'automne
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Pami
Inscrit le: 03 Fév 2004
Messages: 161
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| Posté le: Ven Oct 08, 2004 6:43 pm Sujet du message: |
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Et l'article du Monde... à propos de la jeune star du Kabuki, Ichikawa Shinnosuke VII, qui depuis cette année a accédé à un rang supérieur, engendrant également un changement de nom (de scène). Si j'ai bien compris, les Parisiens auront le privilège de pouvoir assister, pour la première fois, à la "prise de nom" d'un acteur de kabuki.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-382275,0.html
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haydn
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haydn
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| Posté le: Sam Oct 09, 2004 10:00 am Sujet du message: |
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Et un autre article dans Madame Figaro d'aujourd'hui :
| Citation: |
Kabuki la beaute du geste
Au Japon, ce divertissement déchaîne les passions. Au tour de Paris de succomber. Sur la scène du Théâtre de Chaillot, les acteurs de kabuki réservent une surprise au public : la cérémonie du “kôjô” où Shinnosuke VII va prendre le nom d’Ebizô XI. Métamorphose d’un saltimbanque en dieu vivant. |
L'article de Patricia Boyer de Latour est ICI
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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| Posté le: Lun Oct 11, 2004 7:18 pm Sujet du message: |
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| Connaissant un peu le Japon (j'y suis allée deux fois) et ayant assisté à un spectacle de kabuki au Kabuki-Za de Tokyo, je ne peux qu'inciter les gens à s'intéresser à cette forme de théâtre qui a priori pourrait rebuter des occidentaux, ne serait-ce qu'à cause de la barrière de la langue. Le kabuki mélange théâtre, musique, danse et féerie; ses intrigues sont empruntées au répertoire inépuisable des contes et brassent les thèmes du folklore populaire, par là, le kabuki touche à l'universel et se révèle très accessible (le théâtre Nô, autre forme de théâtre japonais, beaucoup plus abstrait, me paraît plus hermétique.). Je ne sais pas ce que peut donner une représentation de kabuki dans le contexte de Chaillot, mais en tout cas, c'est un privilège rare de pouvoir assister à ce type de représentation.
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haydn
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| Posté le: Jeu Oct 14, 2004 9:44 am Sujet du message: |
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Libération se met aussi à l'heure nipponne aujourd'hui, avec cet article de Jean-Pierre Thibaudat :
| Citation: |
| Traversés par des gestes et des inflexions aussi codés que maîtrisés, ils touchent à l'émotion pure. Osome, c'est Kikunosuke Onoe V, un onnagata de haut lignage, c'est-à-dire un homme qui déploie le «vivre en femme» (selon Ayame, qui édicta les règles du genre), qui la cite dans ce qu'elle a de plus intime. Ce qui étonna tant Pina Baush quand elle vit pour la première fois, Tamasaburo, onnagata d'exception (1). Hankurô, c'est Ebizô Ichikawa XI, qui, à moins de 30 ans, est la nouvelle grande figure du kabuki. |
L'article de Libération est ICI
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haydn
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