Programmes danse - Télévision/Radio

[Déméter]

Toujours sur France 2, dans la nuit du lundi 2 au 3 mars, à 0h25, (re?)diffusion de Joyaux par l'ONP.

[sophia]

Concernant l'émission de Radio Classique avec Brigitte Lefèvre, diffusée lundi 23: les archives audio sont réservées aux membres du Club Radio Classique...

A venir, sur France Culture, dans le cadre de l'émission d'archives radiophoniques Les Greniers de la mémoire, diffusée le dimanche de 17h à 18h (l'émission peut être (ré)écoutée gratuitement sur le site de France Culture):

http://www.radiofrance.fr/francemusique/em/greniers/avenir.php?e_id=35

8 mars
George BALANCHINE (1/2)

ARCHIVES INA

George Balanchine :
Plein feux sur les spectacles du monde (1955)

Et

Wilfride Piollet
Euphonia, Balanchine : Mister B, prod Martine Planells (1996)

Ghislaine Thesmar
Euphonia, Balanchine : Mister B, prod. Martine Planells (1996)
Laissez-vous conter - Master Class danse, prod. Martine Planells (2005)

Henri Sauguet
Henri Sauguet- entretien, prod. Raymond Lyon (1978)

Manuel Rosenthal
Diaghilev et les Ballets russes, prod.Philippe Morin (1990)


DISQUES

George BALANCHINE
Valse Lente
Lera Auerbach, piano
(BIS CD 1502)

Frédéric CHOPIN
Sonate n°2 en si bemol min op 35, « marche funèbre »
Samson François, piano
(EMI 5733922)

Igor STRAVINSKY
Le Chant du Rossignol
Orchestre Symphonique de Chicago, dir.Fritz Reiner
(RCA 7432 84 609 2)

Henri SAUGUET
La Chatte
Chœurs et Orchestre National de l’Opéra de Monte-Carlo, dir. Igor Markévitch
(Adès 14148-2)

Francis POULENC
Aubade, concerto pour piano et orchestre
Eric Le Sage, piano
Orchestre Philharmonique de Liège, dir.Stéphane Deneve
(RCA, 82876 603082)

Piotr Ilyitch TCHAIKOVSKI
Symphonie n°7 (pizzicato)
Berliner Philharmoniker, dir.Herbert von Karajan
(DGG 423 504-2)

Franz LISZT
Wanderer Fantasie pour piano et orchestre
(d’après la Wanderer Fantasie en ut maj D 760 de F.Schubert)
Cyprien Katsaris, piano
Philadelphia Orchestra, dir. Eugen Ormandy
(PIANO 21, P21 022-A)


15 mars
George BALANCHINE (2/2)

ARCHIVES INA

Ghislaine Thesmar
Laissez-vous conter - Master Class danse, prod. Martine Planells (2005)

Violette Verdy
Euphonia, Balanchine : Mister B, prod Martine Planells (1996)

John Clifford
Euphonia, Balanchine : Mister B, prod Martine Planells (1996)

Rolf Liebermann
Les Guetteurs du Siècle, prod. Jacques Chancel (1993)

DISQUES

Piotr Ilyitch TCHAIKOVSKI
Sérénade pour cordes en ut majeur, op.48
New York Philharmonic Orchestra, dir. Leonard Bernstein
(Sony 476 37)

Igor STRAVINSKY
Le baiser de la fée
Orchestra Filarmonica della Scala, dir.Riccardo Muti
(SK 58949)

George GERSHWIN
Who Cares ?
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, dir. David Garforth
(Arion 60332)

Paul HINDEMITH
Quatre Tempéraments
Emmanuel Ax, piano
Los Angeles Phimharmonic Orchestra, dir. Esa-Pekka Salonen
(Sony SK 64087)

Igor STRAVINSKY
Orphée (interlude et danse des furies, du deuxième tableau)
Concertgebouw Orchestra, dir. Bernard Haitink
(Q disc 97014)

Igor STRAVINSKY
Agon
Orchestre de la Sudwestrundfunk de Baden-Baden, dir. Michael Gielen
(Hanssler classic HACL 93226)

Georges BIZET
Symphonie en ut maj (adagio)
Orchestre National de France, dir. Seiji Ozawa
(EMI 7638982)


22 mars
Rudolf NOUREEV


29 mars
Jean BABILEE

[Aurélie]

[Fanchon]

Jeudi à 23h50, France 2 diffuse L'Actrice et le Danseur, un documentaire sur le travail d'Akram Khan et Juliette Binoche sur la chorégraphie IN-I.

j'ai beau retourner la grille des programes et le site de Fr2???
je ne vois rien??? c'est ce jeudi???merci...

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Fanchon

[Fanchon]

par contre j'ai trouvé ceci sur le site de france 3;

Vendredi 27 février 2009 à 00h05 : Le Lac des Cygnes

Editorial :
France 3 nous propose de voir, ou revoir, ce très beau numéro de la collection documentaire « L’Heure de... », consacré à l’un des ballets les plus populaires du répertoire classique : Le Lac des Cygnes.

Il s’appuie sur la chorégraphie de Rudolph Noureev, servie par la plus prestigieuse compagnie du monde : le ballet de l’Opéra de Paris dans une version filmée au Palais Garnier en 2005, par François Roussillon.

Alain Duault décrypte cette œuvre à travers une réalisation dynamique, des extraits commentés, des interviews des plus grands interprètes et personnalités de l’Opéra de Paris :
- Brigitte Lefèvre, Directrice de la danse et gardienne du travail du maître Noureev, nous conte son rapport si singulier avec Le Lac des Cygnes
- Elisabeth Platel, Directrice de l’Ecole de danse
- Les Etoiles ayant interprété cette œuvre : José Martinez, Agnès Letestu, Dorothée Gilbert, Emilie Cozette
- Les Maîtres de ballet Clotilde Vayer et Laurent Hilaire
- le Premier Danseur Karl Paquette

Alain Duault rencontre également René Sirvin, journaliste et spécialiste reconnu du ballet, et André Lischké, historien et biographe de Tchaïkovski.

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Fanchon

[Malixia]

[Fanchon]

Merci....

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Fanchon

[haydn]

Dans l'émission "Métropolis" qui débute à cette heure même (28/02, 22h50), Arte diffusera un petit reportage consacré à Violette Verdy.

[sophia]

On peut retrouver le (court) reportage sur Violette Verdy tourné au Centre National de la Danse sur le site d'Arte: Metropolis - Arte+7
C'est plutôt vers la fin, après Pierre Bergé...

[laurence]

C'était archi court!!!!
Comment dire que la danse a besoin qu'on la prenne un peu au sérieux que les films de danse ne doivent pas être simplement des captations mais de véritables recherches artistiques ... et que la danse meurt de ce qu'elle n'est plus considérée que pour un art mineur Il est pourtant bien difficile d'avoir des places à l'ONP il y a donc un public ...

[nabucco]

Vive les captations au contraire! La danse ne vit que par le spectacle!

[laurence]

mais une captation n'est pas un spectacle ... pas le même emploi...et on peut désirer du fromage ET du dessert...

[marc]

[LucyOnTheMoon]

Je vais sûrement me faire rappeler à l'ordre parce qu'on s'éloigne un peu du sujet mais personnellement j'adore la façon dont "Le jeune homme et la mort" est filmé (sur le DVD de l'ONP présentant Carmen en même temps)... l'usage des gros plans, du champ-contrechamp... plus qu'à un ballet, on assite à un vrai film muet en couleur ! Autre avantage, on voit les expressions des visages des interprètes - ce qui est un peu difficile depuis les fonds de loge. Il n'en reste pas moins qu'on n'arrivera jamais à graver sur DVD une "ambiance" de salle. L'idéal, évidemment, c'est d'avoir les deux... si le porte-monnaie le supporte

[Glinka !]

Laurence n'oppose pas le spectacle vivant du ballet vu de la salle à sa représentation filmée. (Elle sait très bien -cela a souvent été souligné ici- que beaucoup d'amateurs de danse ne disposent que du DVD ou de la diffusion TV pour « voir » un ballet.)

Les propos de Preljocaj cités par Marc ne contredisent pas du tout sa pensée, mais la corroborent. (De même, ce qu'écrit LucyOnTheMoon ensuite.)

Pour Laurence, le film d'un ballet ne doit pas être son enregistrement passif ou quasi passif (ce qu'elle nomme « captation »), mais l'acte d'un cinéaste, l'acte d'un artiste transposant le ballet en film ; utilisant ce que permet cet art (le film) pour non pas reproduire ce qu'aurait pu voir le spectateur dans la salle (en ce cas inévitablement réduit à une tête au regard à peu près fixe et au cerveau immobile, posée à bonne hauteur dans un fauteuil idéal), mais, s'identifiant empathiquement au chorégraphe, pour (re)créer l'œuvre que celui-ci aurait pu imaginer (parallèlement au ballet créé pour la scène) s'il avait pu avoir la notion d'un public devant écran, et de tout ce que rendent possible la caméra et le montage.
Ce que fait certainement un(e) chorégraphe contemporain(e) qui effectue lui-même (elle-même) -ou qui supervise- la transcription filmée de son œuvre.

La « captation » que déplore Laurence, c'est la « focalisation externe » : quelque chose comme le « regard » sans yeux ni pensée de la vidéo d'un hall de banque -par exemple ; un « regard » de machine, de mécanique enregistreuse. C'est ce que l'on voit sur YouTube, quand ce que l'on voit est l'enregistrement-souvenir capté par une caméra forcément rudimentaire, précairement tenue : cette « captation »-là -que nous voyons à l'écran- n'est pas du tout ! absolument pas du tout ce qu'a vu la personne « filmant », et dont elle gardera l'émotion... (Émotion qu'elle conservera peut-être grâce à ce fragment capté -et c'en était certainement le but-, mais dans ce cas elle seulement, et pas la multitude de tiers inconnus à qui elle l'offre par désir légitime de partage, lesquels ne pourront percevoir dans ce décalque animé que la trace, que le métabolite d'un bonheur, et non son principe.)

Ce qu'il faut au film d'un ballet, veut dire Laurence, c'est évidemment la « focalisation interne » : le regard d'un créateur -d'un recréateur amoureux de la danse, suprêmement connaisseur de la danse, du ballet qu'il filme, et, non égotiste, pouvant s'identifier au (à la) chorégraphe, mais aussi bien au spectateur (à la spectatrice) devant écran pour tout autant magnifier l'œuvre à des yeux novices que ne pas décevoir les attentes des balletomanes -lesquel(le)s reconnaîtront certainement mieux le ballet qu'ils (qu'elles) ont vu sur scène dans cette œuvre différente, que dans une simple « captation » s'étant voulue « objective ».

[Une "édition" (trop tardive...) pour ne pas laisser une formulation malheureuse, écrite de façon irréfléchie, pas très bien venue dans le contexte actuel -cf autre fil : Pavillon noir... ]