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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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korina
Inscrit le: 30 Aoû 2005 Messages: 37 Localisation: fontainebleau
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Posté le: Mer Juin 21, 2006 6:30 pm Sujet du message: |
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Merci pour toutes ces magnifiques photos.Comme je regrette de ne pas avoir pris de places !!
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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Posté le: Mer Juin 21, 2006 6:37 pm Sujet du message: |
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Merci Korina. Surveillez tout de même le site de l'Opéra, parfois des places sont remises en vente (malheureusement dans les catégories de prix les plus élevées).
Par ailleurs, il y a aussi la solution des places à 5€, mais il faut faire la queue très tôt pour espérer en obtenir une au distributeur.
Attention, les voyous du marché noir ont apparemment aussi compris le truc, et il semblerait que lorsqu'un spectacle est pratiquement complet, ils se précipitent pour rafler toutes ces places à 5€ pour les revendre ensuite à dix fois leur valeur aux touristes ou aux fans prêts à tout pour voir leur danseur ou leur chanteur préféré...
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Canari
Inscrit le: 31 Mar 2006 Messages: 93 Localisation: Chartres
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Posté le: Jeu Juin 22, 2006 1:19 pm Sujet du message: |
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ouah !
Merci pour ses photos.
La chartraine que je ne suis n'a jamais eu l'occasion d'assister à aucune représentation à Garnier ou Bastille, mais grâce à ses photos j'y suis presque !
Merci Haydn
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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Posté le: Jeu Juin 22, 2006 1:57 pm Sujet du message: |
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Philippe Noisette, le critique des Echos, a lui aussi été enthousiasmé par la prestation de Nicolas Le Riche dans Boléro, même s'il n'omet pas non plus de souligner les mérites de kader Belarbi et surtout d'Alessio Carbone dans Le Mandarin merveilleux :
Citation: |
Avant la prise de rôle de Marie-Agnès Gillot, c'est l'étoile incandescente Nicolas Le Riche qui incarne ce ballet court à la sexualité offerte : seul sur une table, entouré d'hommes, Le Riche commence sa parade amoureuse. Béjart créa d'abord le rôle pour une de ses danseuses, Duska Sifnios, avant d'imaginer pour Jorge Donn une version au masculin. Le héros du « Boléro » semble piétiner avant de déployer ses bras puis ses sauts dans un rituel dont la force va grandissante. Peu à peu, le cercle des figurants, parfaits, va se resserrer jusqu'au dernier assaut. Nicolas Le Riche, visage transfiguré par l'émoi plus que par l'effort, est progressivement gagné par la jubilation de cette danse. L'onde de son plaisir parcourt la salle jusqu'au dénouement libérateur. L'ovation qui suivra résonne encore dans nos têtes. Aux saluts, Le Riche ira chercher Béjart, diminué, pour partager ce triomphe. Les plus beaux cadeaux sont, en effet, ceux que l'on partage. |
La critique de Philippe Noisette est ICI
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Jeu Juin 22, 2006 5:00 pm Sujet du message: |
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Dans Libération, un article très bref de Marie-Christine Vernay qui ne semble pas avoir vu le spectacle, mais qui évoque la genèse de Variations pour une porte et un soupir.
Lien vers l'article
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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Posté le: Ven Juin 23, 2006 5:36 pm Sujet du message: |
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Rosita Boisseau, du Monde, en pince manifestement pour Nicolas Le Riche, et signe une critique enflammée de son Boléro :
Citation: |
Quelques litres de sueur en moins, Nicolas Le Riche a émergé du Boléro, pièce intensément sexuelle qui mise aussi sur l'exaltation de l'épuisement, comme lavé par un orage. De façon lente et définitive, rythmique, appuyée, la musique de Ravel, écrite en 1928, et la partition chorégraphique, créée en 1961, s'articulent toujours aussi solidement. Interprété somptueusement, dans toutes ses nuances d'animalité et de grâce par Nicolas Le Riche, le rôle soliste a atteint avec lui une plénitude déchirée, implacable, particulièrement émouvante. |
L'article du Monde est ICI
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Azulynn
Inscrit le: 13 Nov 2004 Messages: 659
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Posté le: Dim Juin 25, 2006 7:15 pm Sujet du message: |
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Critique très consensuelle de Gérard Mannoni sur Altamusica : Béjart ou l'éternel triomphe
Rassurons-nous, tout va bien dans le meilleur des mondes pour le monstre sacré qu'est Béjart, apparemment :
Citation: |
Il aura quatre-vingts ans l’an prochain, mais sa popularité est toujours au zénith. Maurice Béjart a encore soulevé l’enthousiasme d’un Opéra Bastille comble avec ce spectacle qui est un regard sur le passé mais aussi une preuve de la pérennité de son œuvre. Trois pièces sur de grandes partitions du répertoire du XXe siècle et à chaque fois un véritable triomphe. |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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Posté le: Lun Juin 26, 2006 10:58 pm Sujet du message: |
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Premiers mots rapides sur la représentation de ce 26 juin, qui marquait les débuts de Marie-Agnès Gillot dans Boléro.
Très attendue, l'étoile, qui jouit d'une grande popularité auprès du public, a, tout comme Nicolas Le Riche les jours précédents, été largement ovationnée à l'issue de sa prestation.
L'interprétation que donne Marie-Agnès Gillot de la célèbre chorégraphie de Maurice Béjart est contre toute attente finalement assez peu expansive, et la danseuse ne joue pas des qualités athlétiques qu'on lui connaît. Au contraire, elle nous livre une gestuelle d'une grande fluidité, très féminine, mais en édulcorant délibérement l'aspect érotique de la pièce. Même si Nicolas Le Riche s'était également abstenu d'en faire trop dans ce domaine, il se montrait plus suggestif. A titre personnel, j'ai une préférence pour l'interprète masculin, mais l'option choisie par Mlle Gillot se défend parfaitement, d'autant que Maurice Béjart appréciait particulièrement Maïa Plissetskaïa dans cette oeuvre, qu'elle devait elle aussi aborder dans un style vipérin. En tout cas, on aura pu se régaler des effets absolument magiques que Marie-Agnès Gillot parvenait à obtenir de ses bras et de ses mains immenses.
Alors que lors de la première (et contrairement à ce qui, semble-t-il, a été rapporté par certains organes de presse), Variations pour une porte et un soupir avait été plutôt bien accueilli, ce soir il y a effectivement eu des huées et des manifestations de mécontentement d'une partie du public durant l'exécution de la pièce.
En tout cas, nous aurons eu la surprise d'entendre Jérémie Bélingard pousser la chansonnette, entonnant à l'improviste "Stand by me", montrant même quelques talents vocaux insoupçonnés. Dans l'ensemble, les improvisations de ce soir étaient bien réussies, avec des mentions particulières pour Karl Paquette et Christelle Granier, tous deux fort bien inspirés. On a en tout cas apprécié que les danseurs aient réalisé ce soir un vrai travail de groupe, où les protagonistes interagissaient et se stimulaient réciproquement.
Enfin, Kader Belarbi, et plus encore Alessio Carbone, ont remporté un beau succès dans Le Mandarin merveilleux, que le bondissant Italien, à qui est dévolu le rôle de composition de la Prostituée, aborde avec la maestria d'une étoile.
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 1796
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Posté le: Lun Juin 26, 2006 11:05 pm Sujet du message: |
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Vos dernières lignes me font plaisir, Haydn !! Sinon je pensais que Marie-Agnès Gillot avait déjà dansé le Boléro le 22 juin... Pour ma part je dois encore attendre quelques jours avant de vous livrer mes impressions sur sa prestation.
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 1796
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Posté le: Lun Juin 26, 2006 11:38 pm Sujet du message: |
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Oui, bon, merci de ces "précisions", Haydn. Mais pour l'instant la "vedette" de Dansomanie c'est Florian Magnenet !
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