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NEOPHYTE
Inscrit le: 25 Sep 2011 Messages: 1042 Localisation: PARIS
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26622
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Posté le: Lun Oct 24, 2022 11:05 am Sujet du message: |
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Décès du chef d'orchestre tchèque Libor Pešek à l'âge de 89 ans. Ancien élève de Karel Ančerl, il a dirigé, dans son pays natal, la Philharmonie Slovaque et la Philharmonie tchèque, et a occupé, en Angleterre, durant dix ans les fonctions de directeur musical du Royal Liverpool Philharmonic Orchestra.
Et comme on est sur Dansomanie, petit lien sur cette compilation des principaux numéros du Lac des cygnes, avec la Philharmonie tchèque sous la baguette de Libor Pešek
https://www.youtube.com/watch?v=o8dY7jqcuKA |
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Enya
Inscrit le: 26 Aoû 2005 Messages: 1161
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1453 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Aoû 18, 2024 7:09 pm Sujet du message: Puisque nous sommes tous de TRES mauvaise humeur ... |
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Ceci vient d'apparaître sur YT
L'opérette complète PATIENCE de Gilbert & Sullivan
https://www.youtube.com/watch?v=G8rDGdA9EF0
Antidote aux cérémonies de .... Aber das Wort
Hab'ich vergessen.
Sorry.
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26622
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Posté le: Lun Aoû 19, 2024 1:38 pm Sujet du message: |
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Katharine Kanter connaît mes points faibles... J'ai presque toutes les œuvres de Gilbert & Sullivan chez moi... Merci en tous cas pour cette vidéo, je crains qu'aujourd'hui on ne ferait plus cela à l'English National Opera. Dans les années 80 (époque de laquelle date cet enregistrement), le Royal Opera House (Covent Garden) connaissait une relative "décadence" et les productions de l'ENO étaient souvent considérées comme meilleures par les mélomanes.
Gilbert & Sullivan sont plus ou moins considérés comme les "Offenbach" anglais, dont ils sont contemporains. Personnellement, je trouve que les partitions de Gilbert & Sullivan sont plutôt mieux orchestrées, avec des coloris plus riches que celles de leur homologue français. Elles ont eu du mal à s'imposer au-delà de la sphère anglophone, car les livrets sont fortement liés à l'histoire de l'Empire britannique et à la vie politique du Royaume Uni sous le règne de Victoria, et sont de ce fait d'un accès assez difficile à un public étranger. Aujourd'hui, ces ouvrages ne sont guère plus représentés, car considérés comme du divertissement pour "bourgeois réactionnaires" (alors que lesdits "bourgeois réactionnaires" en prennent souvent pour leur grade mais passons), sauf aux États-Unis, où ils figurent encore souvent au répertoire de théâtres "provinciaux" ou de troupes amateurs, notamment universitaires (rassurez-vous, pas à Seattle, Portland, LA ou New-York).
Le mécène de Gilbert & Sullivan était un certain Richard d'Oyly Carte, qui après avoir travaillé un temps dans l’édition musicale, est devenu un magna de l'hôtellerie de luxe à Londres. C'est lui notamment qui était propriétaire du célèbre hôtel Savoy, situé sur le Strand, à deux pas de la gare de Charing Cross et de Covent Garden. Il a fait construire, au sein de l'hôtel, un théâtre, et finance la d'Oyly Carte Opera Company, entièrement dédiés aux représentation des ouvrages lyriques de Gilbert & Sullivan. Le théâtre existe toujours. La compagnie a été dissoute en 1982 puis "ressuscitée" quelques années plus tard, en collaboration avec le Scottish Opera. La production des œuvres de Glbert & Sullivan n'es cependant plus son unique activité. |
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1453 Localisation: Paris
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Posté le: Mar Sep 03, 2024 5:30 pm Sujet du message: Elena GERHARDT |
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Oui, c'est ridicule, mais je ne connaissais pas cette chanteuse.
Have just discovered her. (delightful pianist as well)
Totally out of fashion, nobody sings like that anymore.
One can understand every word.
"too wordy", and "not enough voice" for present-day taste.
But fabulous.
I could tell you why I think so, but I imagine no-one will listen.
Just tryin' to hear things - thoughts, WHATEVER - that would seem to be ... long gone ?
Or just in hiding till the storms blow over?
WHATEVER - Geheimes ...
https://www.youtube.com/watch?v=xclTc1R97lU&list=PLHCgkHGKEN13QnZ0vZciHSaRHmJqmmdBf&index=7
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1453 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Nov 13, 2024 10:30 pm Sujet du message: The D'oyly Carte in HMS Pinafore ... |
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Scouring the Internet for the (faint) traces of the D'oyly Carte, have come across this with John Reed in the patter role.
https://www.youtube.com/watch?v=N6iNGprcxFI
HMS Pinafore.
Do not laugh.
Little K has a mental age of about 5.
Although I'm in good company with other five-year-olds -
Not givin' any names.
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1453 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Jan 01, 2025 2:58 pm Sujet du message: Lord Chancellors were Cheap as Sprats |
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Nouvelle trouvaille - The Gondoliers (ENO, 1982) - très belles voix féminines : Nan Christie, Fiona Kimm, Anne Collins, Sandra Dugdale, voix masculines un peu bof, mais la mise en scène, les choeurs, la choréo, les décors, le récitatif, le jeu d'acteur - on passe un excellent moment. Et le livret est pour dire le moins, pertinent à l'époque GRRRRR que nous vivons.
https://www.youtube.com/watch?v=D1LuwO01gi8
Le Duc d'Alhambra sur la pléthore actuelle de Charges lucratives :
Lord Chancellors were cheap as sprats,
And Bishops in their shovel hats
Were plentiful as tabby cats –
In point of fact, too many.
Ambassadors cropped up like hay,
Prime Ministers and such as they
Grew like asparagus in May,
And Dukes were three a penny.
On every side Field-Marshals gleamed,
Small beer were Lords-Lieutenant deemed,
With Admirals the ocean teemed
All round his wide dominions.
Et le Duc et la Duchesse de Plaza Toro, qui se vantent de monnayer leur titre de noblesse de la manière la plus lucrative qui soit - nous sommes en 1889, au moment où l'aristocratie anglaise s'est mise à épouser les hordes de héritières américaines en quête de titres qui travesent l'Océan en rout pour Ol' Blighty. (Le roman The Buccaneers de E. Wharton est l'une des études de cas).
RECITATIVE – DUKE.
To help unhappy commoners, and add to their enjoyment;
Affords a man of noble rank congenial employment;
Of our attempts we offer you examples illustrative:
The work is light, and, I may add, it’s most remunerative.
DUET – DUKE and DUCHESS.
DUKE. Small titles and orders
For Mayors and Recorders re
I get – and they’re highly delighted –
DUCH. They’re highly delighted!
DUKE. M.P.s baronetted,
Sham Colonels gazetted,
And second-rate Aldermen knighted –
DUCH. Yes, Aldermen knighted.
DUKE. Foundation-stone laying
I find very paying:
It adds a large sum to my makings –
DUCH. Large sums to his makings.
DUKE. At charity dinners
The best of speech-spinners,
I get ten per cent on the takings –’
DUCH. One-tenth of the takings.
DUCH. I present any lady
Whose conduct is shady
Or smacking of doubtful propriety –
DUKE. Doubtful propriety.
DUCH. When Virtue would quash her,
I take and whitewash her,
And launch her in first-rate society –
DUKE. First-rate society!
DUCH. I recommend acres
Of clumsy dressmakers
Their fit and their finishing touches –
DUKE. Their finishing touches.
DUCH. A sum in addition
They pay for permission
To say that they make for the Duchess –
DUKE. They make for the Duchess!
DUKE. Those pressing prevailers,
The ready-made tailors,
Quote me as their great double-barrel –
DUCH. Their great double-barrel –’
DUKE. I allow them to do so,
Though Robinson Crusoe
Would jib at their wearing apparel –
DUCH. Such wearing apparel!
Act II 37
DUKE. I sit, by selection,
Upon the direction
Of several Companies bubble –
DUCH. All Companies bubble!
DUKE. As soon as they’re floated
I’m freely bank-noted –’
I’m pretty well paid for my trouble –
DUCH. He’s paid for his trouble!
DUCH. At middle-class party
I play at écarté –
And I’m by no means a beginner –’
DUKE (significantly). She’s not a beginner.
DUCH. To one of my station
The remuneration –
Five guineas a night and my dinner –
DUKE. And wine with her dinner.
DUCH. I write letters blatant
On medicines patent –
And use any other you mustn’t –
DUKE. Believe me, you mustn’t –
DUCH. And vow my complexion
Derives its perfection
From somebody’s soap – which it doesn’t –
DUKE (significantly). It certainly doesn’t!
DUKE. We’re ready as witness
To any one’s fitness
To fill any place or preferment –
DUCH. A place or preferment.
DUCH. We’re often in waiting
At junket or fêting,
And sometimes attend an interment –
DUKE. We enjoy an interment.
BOTH. In short, if you’d kindle
The spark of a swindle,
Lure simpletons into your clutches –
Yes; into your clutches.
Or hoodwink a debtor,
You cannot do better
DUCH. Than trot out a Duke or a Duchess –
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1453 Localisation: Paris
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26622
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Posté le: Dim Jan 12, 2025 10:40 pm Sujet du message: |
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Merci! Il y a eu d'excellents enregistrements réalisés en URSS, surtout dans les années 1950-1970.
Dmitrii Bortnyansky, né en 1751, a commencé par écrire des concerti, symphonies etc dans le style de son presque exact contemporain, Mozart, mais sans vraiment jouer dans la même catégorie que ce dernier.
Et un jour, il a décidé de laisser tomber la musique dans le style "italo-autrichien" standard de son époque, quand il a été nommé Maître de Chapelle du tsar Paul 1er, en 1796. Il s'est progressivement consacré au renouvellement de la musique liturgique orthodoxe, dans un style entièrement nouveau, qui retournait aussi aux anciennes traditions russes. L'inspiration religieuse à fait de lui un véritable génie, alors qu'autrement, il serait resté un honnête "Kleinmeister" (petit maître). |
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