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Prix de Lausanne 2022 [30 janvier - 6 février 2022]
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Katsu



Inscrit le: 21 Déc 2019
Messages: 1312

MessagePosté le: Mer Fév 09, 2022 7:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bien sûr, on peut réagir aux accusations de ces activistes.
Ma critique portait sur la manière d'y répondre. L'aveu de culpabilité formulé par la com' du Prix ("on manque de diversité dans le ballet, c'est triste", puis les trois publications "pro-diversité" qui ont suivi) alors qu'une simple déclaration du style "nous ne souhaitons pas appliquer de quotas de représentativité fondés sur la couleur de peau" aurait suffi, quitte à s'attirer les foudres d'une minorité bruyante.


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Claudia



Inscrit le: 09 Fév 2021
Messages: 284

MessagePosté le: Mer Fév 09, 2022 8:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Si la com' a répondu en ce sens, en effet, elle aurait mieux fait de s'abstenir ou mieux, d'assumer son point de vue, nous sommes d'accord.


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Alexis29



Inscrit le: 22 Avr 2014
Messages: 1243

MessagePosté le: Jeu Fév 10, 2022 6:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

https://www.tdg.ch/le-prix-de-lausanne-est-il-trop-blanc-164471332125


A part ça les deux membres du jury qui ont été remplacés étaient Laëtitia Pujol et Yuri Fateyev, ce ne sont pas eux qui auraient évité la présente polémique !


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22085

MessagePosté le: Jeu Fév 10, 2022 7:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

LOL

Mais quelle (très) mauvaise polémique!


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Sarra



Inscrit le: 29 Sep 2009
Messages: 263

MessagePosté le: Ven Fév 18, 2022 8:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce petit mot attendait depuis quelques jours que le fil Lausanne remonte de lui-même... Mais pourquoi attendre, au fait ? Rolling Eyes Il concerne Erle Østraat (presque quinze jours déjà, depuis le Prix ! Sad) et n'a donc rien d'illégitime ici, ni dans le lieu ni dans le moment. S'il lui fallait un titre, s'il fallait un titre à cette petite "préface à un début -de ballet-" ce pourrait être : 

Erle Østraat avant la lettre...

Tout de suite remarquée lors de ce Prix de Lausanne, j'ignorais alors que la « présence » émanant d'elle m'avait déjà touché... -comme peut-être beaucoup d'entre nous. Sans savoir que c'était elle.

Juste après Erle à Montreux, après les gentillesses de Sandra opera, les pensées flottaient bien sûr vers la Norvège, avec ce décousu que l'on sait, images paraissant, se superposant « en moins de temps -bien moins !- qu'il n'en faut pour l'écrire », conduisant à d'autres, reprises avec d'autres encore, enchaînements différents, plus courts plus longs etc.... Færing, oselvar -embarcations merveilleuses !-... Rivages norvégiens s'égarant en Baltique -Fårö... Liv Ullmann... Sa fille Linn... Son visage présumé quand la romancière norvégienne d'aujourd'hui avait 9 ans, son visage pendant l'ouverture de la Flûte enchantée filmée par son père... On disait (il se disait) que c'était elle mais pas du tout c'était une autre...
Alors dans l'esprit un autre enfant, un autre opéra : sur Mariinsky TV, la Dame de pique il y a deux ou trois ans... Au tout début aussi... Dans cette mise en scène, le Destin, sous l'apparence d'une dame lente, majestueuse, hiératique, tend à Herman-enfant, un enfant, dix-douze ans, sombre et résolu, les trois cartes... La scène est obscure, le fond obscur... On suppose dans la salle une attention soutenue... À quoi donc ce souvenir me fait-il penser ?...À la même époque il me semble...Un début de même intensité, un enfant -une enfant... Mais dont le rôle dans ce début allait au-delà d'un geste ou deux... Un ballet... -Un ballet ? Oui, un personnage adulte-enfant aussi...Ballet de Norvège... -Hedda Gabler ! -La lumière, comme on dit.
Hedda Gabler, la pièce transcrite en ballet. Le début, regardé plusieurs fois, suscitant l'envie de voir la suite -jamais vue, hélas...
De nos jours rien n'est bien loin : Hedda Gabler + Google = ce début dont je me souvenais... À présent dans un site de vidéo à la demande, à l'époque c'était autre chose mais c'est bien ça, ce début... -regardons ! pour voir un peu du Ballet de Norvège, puisque les pensées y mènent...

Je l'ai reconnue aussitôt ! dès le rideau finissant de se lever sur elle. Pas de doute ! C'est Erle Østraat ! Smile de quatre ou cinq ans plus jeune -alors toute jeune élève de l'École du Ballet de Norvège, donc.
Qui a regardé assidûment le Prix de Lausanne aurait d'emblée reconnu Erle.

Notre regard la suit, elle comme mue à distance par le père -ressort premier du drame-, il suit son pas désinvolte et déterminé, souple et marqué, comme un peu musardant mais sachant où il va, balancé mais ne quittant sa ligne, se concluant par un contrapposto ostensible (figure de la contradiction comme il a souvent été dit -celle inhérente à Hedda évidemment -à son entrée Hedda adulte aura presque le même, en symétrie).
La chorégraphe/metteure en scène ne voulait pas autrement, Erle ! -Parfait ! Smile 👏

Erle va, vêtue en cavalière  -l'œil sûr de Rosita Boisseau l'a noté !¹ Il n'a pas noté cependant le détail qui surajoute une connotation en associant cette tenue -contemporaine ²- à l'activité équestre du dressage : le chapeau presque haut-de-forme³, autorisé là seulement (du moins l'était-il encore en 2017, date du ballet -maintenant il est interdit) : en dressage, ce sport équestre -cet art- où le cheval paraît n'être mené que par subtile -mais inflexible- influence ne se laissant percevoir -la volonté d'influence pareille étant un trait de Hedda.

Des profondeurs de mon insignifiance, je me permets toutefois de porter la contradiction à Rosita : de ce qu'elle écrit dans sa deuxième phrase, on peut déduire que Erle-Hedda-enfant s'amuse (le verbe est employé), balançoire, « galipette » (le mot est utilisé), en somme une mignonnette qui fait des galipettes. Or, Erle-Hedda-enfant joue mais ne s'amuse pas. Son jeu est un jeu grave. Un jeu symbolique grave. Tout dans l'expression de Erle Østraat, dans ses actes, le montre. En fait : elle ne joue pas, mais se joue de.... Le regard « supérieur », comme de dédain, qu'elle dirige lentement en dit long... Elle se joue des pantins-hommes dont les jambes -seulement elles- paraissent, ballantes, tandis qu'elle marche.

Pour l'heure ce sont encore des pantins-hommes, comme des jouets d'enfant (mais des jouets symboles) : Erle en tire les ficelles (les « galipettes » de Rosita B.).

Ils deviendront hommes-pantins quand, d'un même geste de désir impulsif que Herman-enfant le « touz » -après troïka et semiorka- tendu par la dame-Destin, Erle aura saisi le pistolet offert par le père, le général Gabler.
C'est nécessairement lui -le père- qui refermant la boîte en claquant le couvercle (un clap, peut-on dire) bruite le coup de feu mimé par Erle levant l'arme, claquement par quoi -ici- tout va commencer : les hommes-pantins apparaissent alors, entiers, tombant d'un cintre, derrière eux Hedda adulte, et par quoi tout finira.
-Maintenant Erle-Hedda-enfant peut s'éclipser.

............................. https://youtu.be/BjUMepxY_PI

Très bien, Erle ! Smile Tu as très bien interprété ton rôle -un très beau début ! 👏 👏 👏
Je suis certain moi aussi que tu feras ton chemin... Smile

***

¹ Les trois premières phrases d'un article paru dans Télérama -Je n'ai pu accéder qu'à cela. Après une ou deux lectures de ce début, le site s'est opacifié totalement -passez la monnaie d'abord ! Pour un article vieux de trois ans !!! -Pas sûr d'ailleurs que le tout vaille l'euro réclamé.

² Nécessairement, pour que l'on perçoive immédiatement la cavalière. Si dans le cadre domestique la fille pouvait tenir du général -lui, en uniforme du temps- le goût du tir au pistolet, on peut certes estimer que le père pouvait aussi, pour apprendre à sa fille l'équitation de façon « solide », la vêtir « en homme » de façon à ce qu'elle monte à califourchon. Mais pourquoi donc ? Car en Europe en ce temps-là, dans la pratique essentiellement mondaine de l'équitation, c'est-à-dire ailleurs qu'au cirque (alors spectacle pour la « gentry ») -où ce n'était le fait que de quelques écuyères-, il était inconcevable, scandaleux même, que les femmes montent autrement qu'en amazone. Tir au pistolet à la maison, oui ; mais Hedda enfant cavalière montait sans aucun doute en jupe, sur selle à fourches. Les connotations requises pour la chorégraphe/metteur en scène ne peuvent donc être apportées que par la tenue moderne, également « masculine » et « féminine ».

³ Ôté par Erle en geste-salut, comme cela pouvait se faire à la fin d'une reprise quand le chapeau était encore autorisé -mais seulement par les hommes, justement... ; et -à mon avis- par ce geste, que l'on voyait encore en 2017 et jusqu'à très récemment, la metteure en scène nous oriente vers le couvre-chef du dressage davantage que vers l'accessoire de l'équitation « aristocratique » propre au milieu de Hedda -où de toute façon il allait avec la veste et la jupe. Il est possible toutefois que ce geste de Erle soit en quelque sorte un « dépouillement des convenances » marquant la liberté de Hedda.


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Sandra opera



Inscrit le: 05 Fév 2022
Messages: 4

MessagePosté le: Ven Fév 18, 2022 10:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Très bien vu , Sarra😇 c est effectivement Erle dans Hedda Gabler👏🏻 une petite anecdote concernant l extrait du ballet posté , Erle joue Hedda Gabler enfant , et on peut y voir plus tard une jeune femme blonde ( ressemblant a Erle ) qui danse elle Hedda adulte , et cette jeune fille s appelle Grete Sofie Nybakken et elle était aussi mon élève lors de sa participation au Prix de lausanne 2008 ( finaliste ) et est aujourd'hui soliste á l Opéra National D´ Oslo comme quoi les histoires se répètent peut- être ? c est tout le mal que je lui souhaite 🍀


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Sarra



Inscrit le: 29 Sep 2009
Messages: 263

MessagePosté le: Lun Fév 21, 2022 3:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, on peut retrouver votre ancienne élève (félicitations à vous !Smile), Grete Sofie Nybakken, à Lausanne . Smile
Dans sa variation de Coppélia acte III.
Et dans la variation contemporaine (Cinderella Story, Neumeier).
La qualité d'image n'est pas au top... Et à l'époque (d'ambiance sympathique par ailleurs, à ce que l'on en disait ici), la réalisation tv n'avait pas le côté pro d'aujourd'hui... -la lampe bleue dans le champ, hmm... Sad

Deux belles photos de Grete Sofie aussi :
https://www.prixdelausanne.org/wp-content/uploads/2014/07/10B08PL03.jpg
https://www.prixdelausanne.org/wp-content/uploads/2014/07/10B08PL12.jpg

D'autre part, quand je me suis demandé -hier- ce qui serait le plus avantageux pour moi entre souscrire un abonnement chez un diffuseur de vidéo ou acheter le dvd Hedda Gabler, j'ai lu non seulement son nom -Grete Sofie Nybakken- en premier dans le générique figurant au revers du dvd BelAir, mais aussi celui de Erle... Smile
En plus, je me suis aperçu -ce matin !- que ce dvd avait été signalé en son temps (2019)... ici même, à Dansomanie ! -Avec la distribution complète -dont Erle Østraat bien sûr... Mais dans un fil que je ne lis pratiquement jamais, hélas... -car je me suis toujours refusé à posséder un téléviseur (depuis la Norvège, peut-être ne comprenez-vous pas cela...), et pour moi dvd = téléviseur. Alors que l'on peut fort bien les lire sur ordinateur, moyennant un lecteur externe -mais pour moi, qui suis né entre le Déluge et la dernière pluie, plus près du premier que de la seconde, tout cela n'est pas spontané dans l'esprit, ça ne vient « qu'à la réflexion »...

J'espère comme vous, de tout cœur -de tout cœur !- que Erle suivra le même chemin que son aînée ! Smile
Et je reste persuadé qu'à un impondérable près elle aurait eu sa place en finale, cela « indépendamment de toute volonté » antagoniste évidemment, ni manifeste ni latente -le Prix est bien au-dessus de toute mesquinerie de ce genre.
Mais Lætitia Pujol et Youri Fateev ayant dû être remplacés in extremis, le Prix, « parant au plus pressé », a dû avoir recours à deux jurés dont il se trouve qu'ils avaient des liens avec la Suisse : le tiers du jury, 3 membres sur 9, était donc dans ce cas.
Or quand une candidate chute en sélection, cette faute sera peut-être moins pénalisée -et ce, de façon absolument inconsciente !- si elle étudie en Suisse : au bout du compte des fractions de fractions de point, il peut se faire qu'une autre candidate va se trouver, elle, indirectement pénalisée...
Mais : pures conjectures, au demeurant sans intérêt maintenant. -Cependant il serait peut-être bon que le jury compte davantage de membres, au moins onze personnes, comme au Concours Reine Élisabeth (ou d'ailleurs un juré ne peut noter ses propres élèves -est-ce le cas à Lausanne ? Je n'en suis pas certain), et pas seulement neuf.
Maintenant, c'est du passé : n'y pensons plus ! Devant : l'avenir, un bel avenir pour Erle, par vos soins, Sandra ! Smile -Et une belle suite de carrière pour Grete Sofie Nybakken !


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Alexis29



Inscrit le: 22 Avr 2014
Messages: 1243

MessagePosté le: Lun Fév 21, 2022 7:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sarra,
Les chutes ne sont pas pénalisées car le jury du Prix de Lausanne évalue le potentiel plutôt qu'uniquement les prestations.

Cela explique parfois quelques incompréhensions pour les spectateurs...

Dans le passé Elodie Le Van avait fait une chute spectaculaire en finale ce qui ne l'avait pas empêchée de gagner un prix et d'aller étudier à New York.

Et puis il me semble bien que Hannah O'Neill avait carrément eu un ruban qui s'était défait l'obligeant à interrompre sa variation, là aussi en finale, pour un premier prix à la clef.

Pour ce qui est d'Oliver Matz, directeur de l'Ecole de Zurich, j'imagine qu'il ne note pas les candidat.e.s qui viennent de chez lui.

Il y a toujours eu ce genre de questionnements notamment dans les années 70 et 80 lorsque Rosella Hightower et Marika Besobrasova faisaient souvent partie du jury.


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Sarra



Inscrit le: 29 Sep 2009
Messages: 263

MessagePosté le: Lun Fév 21, 2022 10:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour votre explication, Alexis ! Smile

Effectivement, comme vous le dites, il est un peu déconcertant -parce que vraiment contre-intuitif- de considérer que l'évaluation du potentiel (l'une des raisons d'être du Prix de Lausanne) se poursuit au-delà des quatre jours de cours et de coaching dont a priori on peut penser qu'ils ont servi à ça...

Déconcertant de devoir admettre que ces jeunes, sur scène, en costume de scène, maquillés avec soin, devant des spectateurs tout pareils à ceux d'une représentation (bien que sachant, ces spectateurs, qu'ils ne vont pas voir un spectacle au sens commun du terme -qui en fait ne sera que pour plus tard, après la finale), sont encore évalués là non sur la « perfection » de leurs variations mais sur un potentiel ne s'exprimant pas forcément par cette « perfection »...

Car si l'on pousse ce fait « aux limites » -comme dans le cas d'un raisonnement logique pour le tester-, on arrive à la conclusion que si une faute telle une chute n'obère pas le potentiel d'un(e) candidat(e), potentiel qui reste donc inentamé, sans déficit, deux fautes, trois fautes, n fautes ne l'entameront pas non plus, en somme qu'une variation totalement ratée ne sera qu'un accident semblable à la chute (après tout, ça peut être le cas : les artistes les plus accomplis ont des jours « sans »...), qu'elle ne doit donc pas être prise en compte quant au potentiel, le(la) candidat(e) pouvant fort bien dire : « Excusez-moi, je recommence ! Pour 3' de décalage, personne n'en mourra ! » [Un peu comme l'anecdote « légendaire » sur Richter, à La Grange de Meslay je crois, rejouant toute la sonate de Beethoven qu'il estimait imparfaite dans sa première interprétation.]
Et du coup, on se demandera à quoi donc sert cette variation sur scène si même ratée elle ne prouve rien... -Mais les raisonnements "aux limites" sont toujours tirés par les cheveux... Rolling Eyes

Pour l'incident du ruban, c'est davantage compréhensible, car c'est un pur aléa.
(Encore que dans un cadre tout autre que Lausanne, où par essence la bienveillance domine et c'est heureux, un jury tatillon pourrait fort bien pointer une négligence dans le nouage dudit ruban.)

D'un autre côté, il est vrai qu'une chute peut être due à un aléa aussi, davantage qu'à une erreur technique. Et finalement, c'est bien qu' « elle ne compte pas » pour ces jeunes -comme vous me l'apprenez, Alexis- car quand elle survient on a mal pour eux !... Crying or Very sad (spécialement quand on a passé des années de sa vie à s'occuper de jeunes, et que l'on connaît leur fragilité) L'entourage est là pour les rassurer, les réconforter, je suppose... Il est vrai qu'ils ont déjà des années de pratique, et probablement intégré une chute comme un « ça arrive à chacun, même aux plus grands »...

Merci également pour la précision concernant l'abstention de notation probable : dans le règlement du Concours Reine Élisabeth le point est clairement indiqué, pour Lausanne je n'ai rien vu, mais sans doute parce que j'ai mal cherché.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22085

MessagePosté le: Ven Avr 15, 2022 8:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

Les écoles et compagnies choisies par les lauréats : https://www.prixdelausanne.org/fr/ecoles-compagnies-choisies-par-les-laureats-2022/


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Prisca



Inscrit le: 29 Oct 2021
Messages: 143

MessagePosté le: Ven Avr 15, 2022 10:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je vois que Luciana Sagioro (Brésil) a choisi l'École de danse de l’Opéra de Paris. Il me semble que c'est la première fois depuis très longtemps que l'Ecole de l'Opéra offre une bourse, ou est-ce que je me trompe ?


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