Cendrillon - ONP Bastille [26/11/2018-02/01/2019]

[rail45]

Bonjour Zoé.
Merci beaucoup.
Je n'ai plus qu'à trouver une personne qui a la possibilité de se libérer le mercredi matin pour profiter de la seconde place.☺
Bonne journée à vous.

[Gimi]

[tuano]

D.Gilbert et H.Marchand doivent danser samedi en matinée, connaît-on le reste de la distribution ? Le site de l'Opéra n'a toujours pas été actualisé.

A se demander si cette représentation ne sera pas également annulée...

[chien en peluche]

Je suis retournée sans et sauf au Japon ce matin (minuit à Paris). Comme vous le savez bien, la matinée et la soirée du samedi 8, on n'a pas eu de spectacles à l'ONP, je n'ai malheureusement eu qu'une Cendrillon, soit la matinée du dimanche 9. Pas de Gilbert, pas d'Alu, c'était un peu dommage.
Ce soir (On est 22:00 heures chez nous), je suis fatiguée. J'aimerais donc me contenter de remercier beaucoup à haydn et particulièrement à rail45. J'ai pu rentrer le dimanche 9 bien entendu, mais aussi la soirée du 11 (Je suis allée à La Traviata), en prenant la ligne 86 sans aucun problème. Il est vrai qu'il y des travaux dans la rue Faubourg St-Antoine. J'ai donc dû marcher jusqu'à l'arrêt Cerisaie. Mais comme vous m'aviez prévue, je n'ai pas eu d'ennuis. Mille remerciements.
A votre tour, je vous souhaite un très bon spectacle pour le 19.

p.s. L'ONP a publié que les spectacles de demain seraient maintenus. Bons spectacles à tous

[tuano]

Distribution somptueuse pour le 15 à 14:30.
F.Alu dansera les trois représentations du week-end !

[tuano]

François Alu est remplacé par Alessio Carbone dans le rôle du Producteur ce samedi 15 à 14:30.

[haydn]

Ce qui parait logique, comme il danse ce soir le Prince dans cette même Cendrillon. mais aucune communication officielle n'a été faite au sujet de la représentation supplémentaire de 14h30, destinée à remplacer celle qui a été supprimée le 08/12...

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[tuano]

L'avantage pour cette représentation avec beaucoup de jeunes enfants, c'est qu'ils peuvent facilement se replacer pour ne pas avoir de grands devant eux. Le public est très clairsemé.

[haydn]

En fait, l'Opéra de Paris n'a apparemment pas mis en vente cette représentation, où il n'y avait que les spectateurs "naufragés" du 8 décembre qui n'ont pas souhaité se faire rembourser, donc logiquement, il y avait beaucoup de places vides...

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[chien en peluche]

[sophia]

Curieuse expérience que d'assister à cette Cendrillon dans une salle sans doute plus qu'à moitié vide. Même avec le replacement encouragé par les ouvreurs, le parterre n'était pas plein. Enfin, c'est tout de même très agréable de profiter - une fois n'est pas coutume - d'une superbe place.

Beaucoup de mal a été dit sur cette production - à chaque reprise, c'est le même refrain - et je dois dire que, dans l'ensemble, je partage ces critiques. L'argument du rêve hollywoodien, qui se voulait une tentative d'actualisation du conte, apparaît aujourd'hui passablement éculé. Quant aux scènes de tournage, elles sont tellement affligeantes qu'on finit par en rire (jaune). En revanche, je me demande si Cendrillon, quelle que soit la version (relecture à la Noureev ou à la Ratmanski ou ancrage dans le conte traditionnel à la Ashton ou à la Sergueiev), peut vraiment éviter le kitsch... et si, à ce titre, une nouvelle version serait souhaitable. Après tout, même si ce ballet est loin d'être un chef d’œuvre, je trouve la compagnie toujours très en phase avec son esprit et son style néo-classique - plus en réalité qu'avec les classiques XIXe revisités par le même Noureev, qu'il serait a contrario absolument nécessaire de rediscuter (mais ce n'est pas la tendance, j'ai bien compris).

Bien sûr, ce constat tient aussi (surtout) à la distribution du jour. Quelle différence avec la terne Dame aux camélias vue hier soir (dont haydn a parlé dans l'autre fil), au corps de ballet atone (et même pas au complet)! Pour cette matinée, menée par un couple d'étoiles éblouissant (Dorothée Gilbert / Hugo Marchand), tout fonctionne au cordeau, du premier au dernier étage si l'on peut dire. Dorothée Gilbert convainc certes davantage à partir du second acte, en vedette de cinéma, qu'en souillon, mais c'est un peu ergoter - sa danse est tellement lumineuse par ailleurs! Hugo Marchand a l'humour et le second degré qu'il faut dans le rôle de l'Acteur-Vedette - faux Prince et vrai ringard -, il danse grand et se gausse avec élégance des tarabiscotages pénibles de la chorégraphie noureevienne. Je ne qualifierais pas les pas de deux de sublimes, mais l'on peut dire que les interprètes parviennent, autant que faire se peut, à les sublimer. Les seconds rôles sont à l'avenant (j'imagine que c'était peu ou prou la distribution de première). L'humour des scènes burlesques est certes ultra-poussif, mais il est plutôt bien soutenu par ses interprètes, notamment par Valentine Colasante, déchaînée en sœur bleue. Émilie Cozette est un peu à la traîne à ses côtés, mais cela fait tout de même plaisir de la revoir en forme dans un rôle un tant soit peu significatif. Difficile en revanche d'oublier, dans le rôle de la Marâtre, une interprétation comme celle de Stéphane Phavorin, même si Aurélien Houette n'y démérite en rien. On saluera également les prestations de Paul Marque en Professeur de danse (parfait dans ce type de rôle) ou d'Alessio Carbone en Producteur. Dans les Saisons, Charline Giezendanner (le Printemps) et Sae Eun Park (l'Automne) se montrent particulièrement lumineuses et dynamiques.
Enfin, un corps de ballet en ordre - et vivant. Bravo!

[Katharine Kanter]

Give credit where credit is due.

The score is appalling.

A lousy remake of R & J.

Hard Metal may make easier listening.

Petipa's ballets are still on the map essentiallly because Tchaikovski put them there.

But not even Frederick Ashton could save this score.

[paco]

[Estelle]

[Idamante]